Après des années en retrait des événements d’affaires, je réalise que je suis plus introvertie que je le croyais… que je préfère passer plus de temps en famille… plus de temps sur ce qui me fait vibrer… Plus de temps à vivre intentionnellement et consciemment plutôt que de participer à une multitude d’engagements sociaux.
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Probablement que ceci résonne pour toi particulièrement si tu es une entrepreneure comme moi. On est constamment à la recherche de façon d’avancer plus vite, d’aller plus loin et d’en faire plus en moins de temps. On cherche à optimiser, à améliorer nos processus et à déléguer.
Tu sais intuitivement ce qui est bon pour toi. Est-ce que ça fait peur? Yessss! Et ça donne mal au cœur. Est-ce que la respiration s’accélère juste d’y penser? Ouiiii! La peur va toujours te saisir et même te prendre par surprise quand tu es mûre pour un grand pas. Ça fait partie des fonctions primaires du cerveau de te garder en sécurité. Ce système d’alarme ne comprend pas que tu n’es pas en réel danger quand tu avances dans ta zone de croissance.
Comment continuer malgré les difficultés, les défis et les préoccupations?
Voici en quelques mots, ce que je retiens de mon expérience d’entrepreneure :
Et voilà. On y est. Le dernier trimestre de 2022. 83 jours avant Noël.
En excellent.e CEO, on a stratégiquement planifié nos objectifs et suivi les indicateurs… Quel est ton constat? Que ressens-tu à la lecture de tes résultats?
Je crois que le paradoxe de la planification stratégique est le suivant:
Alors que la pénurie de main d’œuvre et les problèmes d’approvisionnement augmentent déjà l’anxiété des dirigeantes, voilà que l’inflation et la récession viennent assombrir l’espoir de jours meilleurs…
Difficile d’imaginer ce qu’on peut faire dans notre très petite entreprise contre un phénomène macroéconomique…